Synopsis

Suite à eu une parole prophétique puissante de Ps Bola Ogedengbe pour l’année 2022 où elle voyait des rideaux de magasin qui se baissaient au fur et à mesure. Le Seigneur a révélé que des voix allaient s’éteindre et que d’autres allaient se lever de façon soudaine et inattendue. Suite àcette parole prophétique, le Seigneur nous met en garde sur les changements à venir dans le monde chrétien. Pasteur Bola dans cette vidéo nous enseigne comment nous y préparer et ne pas nous retrouver parmi les personnes désavouées.

Qu’est-ce qui plait à Dieu et qu’est-ce qui Lui déplait? A travers la vie d’Eli et de ses fils, nous apprenons ce qui déplait profondément au Seigneur, comment plaire à Dieu et comment ne pas nous retrouver comme eux à être rejetés par Dieu.

Regardez la vidéo ci-dessous et quelques extraits de la retranscription du message.

 Extraits de la retranscription:

« Je veux que vous compreniez que, nous avons l’habitude de dire que l’appel de Dieu et les dons de Dieu sont irrévocables, que l’appel et les dons de Dieu sont irrévocables. Mais nous oublions que Dieu peut mettre les gens de côté, Il peut fermer le rideau, Il peut fermer les devantures, Il peut aussi enlever quelqu’un de la vie. Il l’a déjà fait, Il Est Dieu, Il a le droit de le faire, Il a le droit de le faire, Il fait exactement comme qu’Il veut. 

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 Et dans ce message également, ce que nous allons voir c’est ce qui déplaît profondément à Dieu : des hommes désapprouvés par Dieu. Lorsqu’on parle de fermeture de rideau, de fermeture de devanture, c’est dans différentes choses. Mais quand il s’agit de ministères, de serviteurs, il y a des choses spécifiques qui amènent le Seigneur à dire : on ferme on ferme on ferme on ferme on ferme. Les cas sont différents, nous allons voir aujourd’hui, nous allons étudier : Eli et ses fils.

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Aujourd’hui, nous avons parfois les gens parlent de la corruption dans le ministère comme si c’était quelque chose de nouveau. Depuis que la nature humaine s’est corrompue, il y a toujours eu la corruption. Le tout c’est que ça ne vienne pas de vous. 

Dans 1Samuel 1 et 1Samuel 2, nous voyons l’histoire de Anne et comment elle a eu son fils Samuel et au verset 12 nous avons donc le chant de Anne et son retour avec son mari Elkana et comment ils ont laissé l’enfant Samuel à Silo, avec le prêtre Eli.  Mais au verset 12 le ton change complètement, complètement le ton change.

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Au verset 12 :

Les fils d’Eli étaient des vauriens qui ne connaissaient pas l’Éternel, d’ors et déjà ça vous secoue d’entendre parler de quelqu’un dans la Parole de Dieu qui dit : c’est un vaurien. Les fils d’Eli étaient des vauriens qui ne connaissaient pas l’Éternel. Voici quelle était la manière d’agir de ces prêtres envers le peuple. Lorsque quelqu’un offrait un sacrifice, le serviteur du prêtre arrivait au moment où l’on faisait cuire la viande, tenant à la main une fourchette à trois dents, (vous imaginez la scène) il piquait dans le récipient, dans le chaudron, dans la marmite ou dans le pot et tout ce que la fourchette ramenait, le prêtre le prenait pour lui. Voilà comment il agissait vis-à-vis de tous les israélites qui venaient à Silo. Avant même qu’on ne fasse brûler la graisse, le serviteur du prêtre arrivait et disait à celui qui offrait le sacrifice : Donne de la viande à rôtir pour le prêtre, il n’acceptera pas de ta part aucune viande cuite. C’est de la viande crue qu’il veut. Si l’homme lui disait : quand on aura brûler la graisse, tu prendras ce qu’il te plaira. Le serviteur répondait : Non donne maintenant sinon je la prends de force. Ces jeunes gens se rendaient coupables d’un très grand péché devant l’Éternel parce qu’ils traitaient avec mépris les offrandes faites à l’Éternel.

 […]

Donc, ils ont complètement violé la loi de Dieu. C’est un peu comme si les gens amenaient leur dîme et leur offrande, et avant même de quitter l’Église le Pasteur vient dire : «  Non non, attendez attendez, je prends les gros billets.  » Il se servait, vous imaginez. Vous serez scandalisés, ou les gens arrivent «  Non non, vous comptez pas, donnez. Je regarde, je choisis, ah non moi c’est les billets de 100, les billets de 50, non les billets de… » Et le Pasteur prend ce qu’il veut, il compte, il met dans sa poche et bon allez c’est bon. Est-ce que vous, vous trouvez ça normal ? 

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C’est exactement ce qu’ils faisaient, ils n’honoraient pas du tout le sacrifice du Seigneur et la Parole de Dieu nous dit, qu’ils se rendaient coupable d’un très grand péché devant l’Éternel.

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Beaucoup de chrétiens se montrent, en disant que Dieu pense beaucoup de bien d’eux parce qu’ils sont sauvés, non. Dieu pense beaucoup de bien de son salut qu’Il nous a donné, est-ce que vous me suivez ? Donc nous sommes la justice de Dieu en Christ-Jésus, pas parce que nous sommes bons, mais parce que Dieu est bon. Et donc, Il nous accepte en Christ-Jésus, pas de nous-mêmes, pas sous notre mérite.

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Qu’est-ce qui fait que les rideaux soient fermés sur des individus ? 

Nous voyons déjà ce genre de malhonnêteté sur le plan financier, ce genre de manque de respect  pour la Maison de Dieu, aucune crainte de Dieu, aucun respect pour les voies de Dieu, aucun respect pour les principes de Dieu, le fait de se comporter comme si la Maison de Dieu était leur maison, ils font comme ils veulent, sans respect pour le Seigneur, sans respect pour les lois qu’Il a mis en place.

Et leur cas est encore plus grave, ils abusent du peuple de Dieu, ils les oppriment. Leur cas est encore plus grave parce que la Parole de Dieu nous dit ceci :

Eli était très âgé lorsqu’il apprit comment ses fils agissaient vis-à-vis de tout Israël, ses fils Hophni et Phinéas. Il apprit aussi qu’ils couchaient avec les femmes qui se rassemblaient à l’entrée de la tente de la rencontre.

Donc, ils ajoutent au vol, à l’extorsion, à la corruption, à l’absence de crainte de Dieu, aux blasphèmes, ils y ajoutent l’impudicité, l’adultère, le viol.  Ça c’est des sacrificateurs, les serviteurs de Dieu, les hommes de Dieu.  Les hommes de Dieu dans la Maison de Dieu, c’est ainsi qu’ils fonctionnent.

J’aimerai tellement dire c’était à l’époque, on ne voit plus ce genre de choses aujourd’hui, mais des hommes pervers malheureusement existent encore.

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Je ne sais pas lequel est pire, si c’est le fils ou le père ? 

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 Eli dans son cas il savait bien ce qui était mauvais, mais c’était un homme faible qui n’a pas su discipliner ses fils parce que ses fils ne sont pas devenus pourris du jour au lendemain. Ils ne sont pas devenus pourris le jour où Eli a vieilli, il y a certainement quelque chose qui manque dans la manière dont ils ont été éduqués. Il y a quelque chose qui manque quand Eli était encore dans la force de l’âge ou à moins qu’il ait eu des enfants à soixante ans quand il était dans la fleur de l’âge. Qu’est-ce qu’il a fait pour corriger ses enfants ? Qu’est-ce qu’il a fait pour leur montrer le droit chemin ? 

Vous savez les âmes nous sont confiées, les vies nous sont confiées et nous sommes une génération qui n’aime pas être éduquée, être corrigée, qui n’aime pas qu’on lui montre la voie. Nous avons oublié peut-être parce que nous prêchons plus vraiment le péché, la condamnation et l’enfer que lorsque les gens sont convertis, ils sont convertis de leurs péchés à Christ et ils sont censés y renoncer et maintenant, se laisser former pour devenir de véritables disciples.

[…]

Tout le peuple : disait-il, tout le peuple me parle de vos mauvaises actions. Il devait avoir les oreilles remplies. Tout le peuple me parle de vos mauvaises actions. Non mes enfants, ce que j’entends dire n’est pas bon, vous faites pêcher le peuple de l’Éternel.Ensuite il leur dit ceci : 

Si un homme pèche contre un autre homme, Dieu le jugera mais s’il pèche contre l’Éternel qui pourra intercéder en sa faveur. 

Il nous est dit : Mais ils n’écoutaient pas leur père car l’Éternel voulait les faire mourir.

Vous comprenez, quand vous arrivez à un point où Dieu lui-même a décidé : Je vais les tuer. Quand nous savons à quel point Il Est miséricordieux, combien de choses Il nous a pardonné encore et encore et encore. Mais quand on parle du fait que Dieu ferme des choses, Il ferme des choses. 

Écoutez, nous sommes nés de nouveau, nous sommes appelés par Dieu mais ça veut pas dire que Dieu ne peut pas mettre fin à ce à quoi Il nous a appelés à faire.Ça ne veut pas dire qu’Il ne peut pas tourner Son dos si nous continuons à persister dans des actions, des attitudes, des activités qui ne Lui plaisent pas, Il ferme.

Et dans ce cas précis, Il n’a pas que fermé, Il les a carrément tués, oui. 

[…]

N’endurcissons pas nos cœurs. Même au sein de l’Église, vous pouvez tellement endurcir votre cœur à la correction, endurcir votre cœur contre un serviteur de Dieu qui essaie de vous ramener à l’ordre, refuser d’écouter à chaque fois qu’on vous dit des choses, que au bout d’un moment Dieu va dire à ce serviteur : Laisse-les.

[…]

Tout serviteur de Dieu qui ne reprend pas que ce soient ses assistants, ses co-pasteurs, ses dirigeants de louange, les diacres, les mentors, les membres, qui ne les reprend pas quand ils font des bêtises, c’est quelqu’un qui leur accorde plus d’importance qu’il n’accorde au Seigneur.

[…]

Il y a une dimension de crainte de Dieu que nous devons avoir qui nous permet de savoir que rien n’est acquis. En d’autres termes, le fait que Dieu vous a appelés aujourd’hui ne veut pas dire qu’Il ne peut pas vous désavouer demain, sinon il faudra qu’Il explique à Ananias et Saphira pourquoi ils les a tués.

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La seule chose qui peut vous empêcher de ne pas devenir un voleur, de ne pas devenir quelqu’un qui fait des choses de façon sournoise, de toutes les façons personne ne voit c’est le fait que vous êtes intimes avec le Seigneur, que vous avez la crainte de Dieu. 

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Il y a beaucoup de cécité dans l’Église, il y a une telle ignorance de Dieu.  Le chrétien moyen ne connaît pas le Seigneur, il a donné sa vie mais il ne le connaît pas. 

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Cette génération ne connaît pas le Seigneur, Dieu est distant, très distant dans la perception des gens, Ses lois aussi sont distantes.

[…]

Nous allons prier bien-aimés, nous allons prier parce que vous savez beaucoup d’entre nous, nous citons des passages qui ne nous correspondent pas du tout. Nous appelons des bénédictions auxquelles nous n’avons pas droit. 

[…]

Or nous ne sommes pas du tout qualifiés, nous sommes plus dans la catégorie de ceux qui doivent pleurer avec des sacs et des cendres parce que ce que Dieu voit dans leur vie c’est une pourriture et si nous faisons cela, là nous allons pouvoir saisir toutes les bénédictions du mouvement de l’Esprit. 

Mais que le rideau ne soit pas descendu sur la vie de quiconque sur le son de ma voix. 

Qu’il ne se trouve personne ici dont que Dieu va dire il est joint à ses idoles : Laisse-le laisse-le laisse-le eh ! laisse-le laisse-le laisse-le.

Il y a une certaine évolution que vous constatez chez certaines personnes, vous savez à un moment donné il n’y a plus rien à leur dire parce qu’ils sont maintenant enfermés dans l’incompréhension, enfermés dans la cécité, enfermés.

Que nous n’arrivions jamais au point où nous ne pouvions plus revenir en arrière, que nous n’arrivions jamais au point où nous ne pouvions plus nous repentir, que nous n’arrivions jamais au point où que nous ne comprenions pas ce qui ne va pas alors que rien ne va.

[…]

Je vous invite à prier quelques instants et laissons le Saint-Esprit nous parler, décidons que  nous voulons pas être de ceux qui vont subir des fermetures de quelques manières que ce soient, que nos voies seront droites devant le Seigneur, Il vous met quelque chose à cœur, demandez-Lui pardon demandez-lui pardon. La présomption, le mépris, le manque de respect pour la Maison de Dieu,.

[…]

Père au Nom de Jésus, je choisis de ne pas être un Eli, un Hophni ou un Phinéas. Je choisis d’être un homme, une femme de droiture et d’intégrité au Nom de Jésus. 

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